jeudi 9 janvier 2014

Fahrenheit 451 de Ray Bradbury



Fahrenheit 451

Couverture Fahrenheit 451 Titre : Fahrenheit 451
Auteur : Ray Bradbury
Année  de sortie : 1955
Nombre de pages : 237
Éditeur : Folio SF
Genre : Science-fiction
Prix : 5 € 30

Résumé :

451 degrés Fahrenheit représentent la température à laquelle un livre s'enflamme et se consume.
Dans cette société future où la lecture, source de questionnement et de réflexion, est considérée comme un acte antisocial, un corps spécial de pompiers est chargé de brûler tous les livres dont la détention est interdite pour le bien collectif. Montag, le pompier pyromane, se met pourtant à rêver d'un monde différent, qui ne bannirait pas la littérature et l'imaginaire au profit d'un bonheur immédiatement consommable.
Il devient dès lors un dangereux criminel, impitoyablement pourchassé par une société qui désavoue son passé.

Mon avis :

Au premier abord j’ai pensé de ce livre qu’il était bizarre, sans doute du au fait que l’auteur nous propulse tout de suite dans un monde futuriste (peut-être) qui d’une certaine manière fait peur tant on arrive à reconnaitre quelques traits de notre société actuelle.  Un monde ou de toute évident l’égoïsme et l’abrutissement  forme une équipe formidable…

Un monde dans lequel, les gens ne se soucient plus de rien, même pas d’eux même. Un monde ou le savoir et la connaissance se limitent au strict minimum sans aucun échange ni partage. Ou les sentiments n’existent pour ainsi dire plus… Un monde qui semble fonctionner à l’envers puisque les pompiers ne sont plus là pour éteindre le feu et protéger le peuple, mais au contraire pour y mettre le feu et arrêter des gens… Mais quelle gens me direz-vous, seulement ceux qui lisent, qui se cultivent et qui possèdent des livres… ceux qui pourraient remettre au goût du jour, l’envie de connaitre leur passé.

Une véritable horreur pour nous autres lecteurs compulsifs. J’ose à peine imaginer un monde ou la réflexion est purement et simplement interdite. Ou l’être humain cède sa place aux machines. Ou l’être humain devient une machine…  Une machine incontrôlable.

Et même si l’auteur semble avoir fait exprès de rendre son récit sans attrait, c’est pour donner plus de matière aux faits. 

Ma note : 16/20                                 ♥♥♥♥

4 commentaires:

  1. Voilà un classique de la science fiction qu'il faudrait que je lise

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  2. Un classique de mes années collège !!!!!! Bises !

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  3. J'avais commencé la lecture de Fahrenheit 541.. je n'ai jamais su le finir :(

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    1. J'ai eu un peu de mal aussi au début et puis me suis habitué à l'ambiance et c'est fini par aller tout seul.

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