lundi 17 février 2014

L'ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon



L’ombre du vent

Couverture L'Ombre du vent Titre : L’ombre du vent
Auteur : Carlos Ruiz Zafon
Année  de sortie : 2006
Nombre de pages : 637
Éditeur : Le livre de poche
Genre : contemporain
Prix : 8, 60 €

Particularité : J’ai lu ce livre en lecture commune avec Vanou vous livre Le lien de son avis se trouve tout en bas.

Résumé :

Dans la Barcelone de l'après-guerre civile, " ville des prodiges " marquée par la défaite, la vie difficile, les haines qui rôdent toujours. Par un matin brumeux de 1945, un homme emmène son petit garçon - Daniel Sempere, le narrateur - dans un lieu mystérieux du quartier gothique : le Cimetière des Livres Oubliés. L'enfant, qui rêve toujours de sa mère morte, est ainsi convié par son père, modeste boutiquier de livres d'occasion, à un étrange rituel qui se transmet de génération en génération : il doit y " adopter " un volume parmi des centaines de milliers. Là, il rencontre le livre qui va changer le cours de sa vie, le marquer à jamais et l'entraîner dans un labyrinthe d'aventures et de secrets " enterrés dans l'âme de la ville " : L'Ombre du vent.

Mon avis :

L’ombre du vent, l’un des livres les plus merveilleux que j’ai pu lire jusqu’alors. Tout y est dans ce roman. Même si une erreur de ma part m’a fait croiser le second livre «  le jeu de l’ange » de la saga « Le cimetière des livres oubliés » (que j’avais aussi beaucoup aimé) avant celui là, c’est avec plaisir que j’ai replongé dans cette atmosphère particulière ou l’auteur a su nous mener avec brio, ne dévoilant le fin mot de l’histoire qu’aux toutes dernières pages.

Une histoire dont la mécanique est bien huilée, mieux que ça encore, des personnages haut en couleur auxquels on ne peut que s’attacher. Une palette d’émotions qui nous traverse de part en part, de part le témoignage de certains personnages, qui ont su nous faire hérisser le poil et couler des larmes sans aucune retenue ; La répartie d’autres, qui nous ont fait rire jusqu’aux larmes,  La toute première idée du livre concernant le lieu ou Monsieur Sempere conduit son fils pour la première fois, afin de perpétuer la tradition familiale, l’enquête dans laquelle s’emmêle et s’entremêle Daniel pour découvrir le fin mot de l’histoire concernant Carax etc… Je ne vous en dis pas plus car, il faut, à mon sens découvrir cette histoire pas soi-même… Les 637 pages ne doivent pas vous arrêter, car le livre se lit presque tout seul, c’est un véritable « page turner ».

Et puis, il y a la plume de l’auteur… magique. Oui, elle est tout simplement magique. Il n’y a pas d’autre mot. Tellement magique qu’on a l’impression de faire partie de l’histoire, d’être l’une de ces personnes que Daniel cherchera au fil des pages à rencontrer pour glaner plus d’informations… Qu’on aura envie de plaisanter un coup avec Fermin, l’un des personnages que je suis sûre de ne jamais oublier. D’en protéger d’autres, tant on éprouve de l’affection pour eux… et d’autres bien entendu, qu’on aura envie de trucider…

Bref, c’est un livre qu’il ne faut pas hésiter à lire si vous croiser sa route car, j’en suis sûre, vous passerez un excellentissime moment.

Je n’ai à présent plus qu’une envie, relire « Le jeu de l’ange » et continuer avec le troisième volet « Le prisonnier du ciel ».

L’avis de Vanouvous livre.

Ma note : 20/20                                ♥♥♥♥♥

3 commentaires:

  1. oh, je suis tellement contente qu'il t'ai plu !!! J'adore cet auteur et "L'ombre du vent" est mon livre préféré !!!! Bonne lecture pour la suite, bises !

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  2. Ce livre m'avait toute retournée à l'époque! J'ai du le lire l'année de sa sortie.
    Très bon livre avec tous les ingrédients nécessaire pour une belle réussite littéraire.

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    1. C'est exactement ça, ce livre contient tout les ingrédients nécessaires.

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