Présentation Du livre :
Titre : 1Q84 Livre 1
Titre Original :1Q84
Auteur : Haruki Murakami
Traducteur : Hélène Morita, Yôko Miyamoto
Saga : 1Q84
Tome : 2
Date de sortie : 2012
Nombre de pages : 496
1er Éditeur : Belfond
Éditeur Poche : 10|18 •
Collection ://
Genre(s) : Contemporain
Prix : 9, 80 €
Spoiler : Non
Résumé :
Les choses qui restent enfermées dans notre coeur n'existent pas en ce
monde. Mais c'est dans notre coeur, ce monde à part, qu'elles se
construisent pour y vivre.
Le Livre 1 a révélé l'existence du monde 1Q84.
Certaines questions ont trouvé leur réponse. D'autres subsistent : qui sont les Little People ? Comment se fraient-ils un chemin vers le monde réel ? Pourquoi deux lunes dans le ciel ? Et la chrysalide de l'air, est-elle ce lieu ou sommeille notre double ? Ceux qui s'aiment ne sont jamais seuls. Le destin de Tengo et d'Aomamé est en marche.
Dans la même veine que le premier livre l’auteur nous laisse
patauger dans l’incompréhension la plus totale. Parce que quand un semblant de
réponse se pointe, l’auteur s’empresse d’ajouter des éléments qui nous
déroutent complètement. Comme si finalement c’était ça le but de l’auteur :
« nous rendre fou ».
Bien entendu dans ce tome on commence à avoir un peu plus
d’éléments de réponse sur les deux mondes que traversent nos protagonistes. On
commence à voir quelques liens certes ténus, mais quelques liens tout de même
entre tout ce qui jusqu’à présent nous semblait être des évènements
complètement indépendants les uns des autres…
On gravite toujours dans cette impression que le livre
regorge de défauts, vous vous rappelez, je vous parlez de toutes ces longueurs
interminabbbbbllllleees… des répétitions à volo, de tout ces récits qui ne
semblaient avoir aucun lien avec l’intrigue de base, de ces changements de
perceptions, de tous ces personnages qui apparaissent, certains disparaissent
etc.
Et pourtant…
Encore une fois, ce second livre se lit quasi d’une traite…
du moins les pages défiles les unes après les autres et on ne voit pas le temps
passer… Et en plus… on en redemande encore et encore. En tout cas, moi j’ai
très envie de découvrir la suite pour enfin comprendre ce qui Haruki Murakami
manigance… Wouaw, si tous ses romans sont comme ça, mais moi j’adhère
complètement.
Je pense qu’il n’y a que Haruki M. pour écrit un livre avec
des manières qui de prime abord ne peuvent que nous exaspérer, nous autres
lecteurs et en même temps réussir à nous captiver au point de lire une centaine
de pages sans s’en rendre compte…
En général, quand je
lis un livre ou l’auteur se perd dans des explications plus qu’assommantes, je
perds très vite le fil et fini par abandonner ma lecture, mais Haruki M. arrive
par je ne sais quel moyen a me tenir en halène malgré tout… Et puis même si
l’auteur prend un malin plaisir (de toute évidence) à nous induire en erreur, à
nous plonger dans les doutes les plus incertains qui soient, on n’est pas
totalement perdu pour autant… on garde quand même un fil rouge qui nous permet
d’apprécier cette lecture à sa juste valeur…
Et puis, Haruki M. c’est un style à lui tout seul… Je ne
suis pas sûre un jour de trouver son égal…
Mais ceci étant dit, je pense quand même que la plume de H.M conjuguée à son imagination, c’est juste le
jour ou la nuit. Le noir ou le blanc. En somme, on aime ou on n’aime pas… Moi
Je suis carrément fan…
Quelques mots sur l'auteur :
Nationalité : Japonaise
Né(e) à : Kyoto 1949
Fils d'un enseignant de littérature japonaise en
collège, Haruki Murakami passe son enfance avec ses livres (« j'étais un enfant
unique, solitaire, inquiet. Je passais mes journées enfermé, avec mes chats et
mes livres. [...] j'ai tout de suite senti que la fiction était plus belle que
la vie. »4) et ses chats (« Je suis enfant unique et j'avais des conversations avec
les chats que nous avions à la maison. »). Adulte, il opte pour les arts
théâtraux et souhaite devenir scénariste de cinéma.
Après ses études à l'université Waseda, il est
pendant huit ans (de 1974 à 1981) responsable d'un bar de jazz, le Peter Cat, dans
le quartier de Kokubunji à Tokyo. (Des anecdotes de ces années seront évoquées
plus tard dans ses deux recueils d'essais-souvenirs Portrait en jazz, 1997 et
2001.) Comme en témoigne l'animal éponyme de son bar, Murakami reste un
passionné des chats, et l'on remarque la présence récurrente de cet animal dans
sa littérature.
Ses expériences d'étudiant et de travail
nourrissent son premier roman, le réaliste Écoute le chant du vent, publié au
Japon en 1979, et pour lequel il reçoit le prix Gunzō.
Depuis, Murakami préfère alterner son écriture entre l'« épreuve » des romans
et la « joie » des nouvelles6, les secondes étant « une sorte de laboratoire »
nourrissant les premiers.
Ma note :
19/20
Il faudrait vraiment que je découvre cet auteur un jour !
RépondreSupprimerAh oui, il faut. Quitte à ce qu'au final tu n'aimes pas (au moins tu seras fixée, mais il faut vraiment essayer...
SupprimerEncore une saga que j'ai très envie de lire :)
RépondreSupprimerBen franchement, fonce...
SupprimerAh mince, moi je n'ai pas du tout aimé !
RépondreSupprimerC'est dommage, c'est un auteur qui a une imagination de folie...
SupprimerOn entend vraiment beaucoup parler de ce livre, faudra que je test un jour
RépondreSupprimerOui, il le faut lol. C'est un grand livre... comme je dis, il est bourré de défauts, mais si tu arrive à faire fi de ça, c'est une histoire de folie. Je suis actuellement en train de lire le livre 3...
SupprimerIl a l'air très intéressant, merci :)
RépondreSupprimerOui oui, il est...
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