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lundi 19 septembre 2016

1Q84, livre 3 Octobre-Décembre de Haruki Murakami

Couverture 1Q84, tome 3 : Octobre-Décembre
Présentation Du livre : 
 
Titre : 1Q84  Livre 3
Titre Original :1Q84  
Auteur : Haruki Murakami
Traducteur : Hélène Morita, Yôko Miyamoto
Saga : 1Q84
Tome : 3 
Date de sortie : 2013
Nombre de pages : 619
1er Éditeur : Belfond
Éditeur Poche : 10|18
Collection ://
Genre(s) : Contemporain
Prix : 9, 80 €
Spoiler : Non
  
Résumé : 
 
Ils ne le savaient pas alors, mais c'était là l'unique lieu parfait en ce monde. Un lieu totalement isolé et le seul pourtant à n'être pas aux couleurs de la solitude. Le livre 3 fait entendre une nouvelle voix, celle d'Ushikawa. Et pose d'autres questions : quel est ce père qui sans cesse revient frapper à notre porte ? La réalité est-elle jamais véritable ? Et le temps, cette illusion, à jamais perdu ? Sous les deux lunes de 1Q84, Aomamé et Tengo ne sont plus seuls...

Mon avis  :

Encore une fois c’est 100 ans après avoir lu un livre que je m’en viens le commenter sur mon blog. Et ça, c’est pour ne pas déroger à la règle… Je vous présente donc le dernier (???) livre de la série 1Q84 de Haruki Murakami, le livre 3 donc.

On m’avait superbement bien vendue cette série… et après les deux premiers livres, malgré des lectures difficiles, j’avais beaucoup aimé le monde de l’auteur… Mais pour ce qui est de ce troisième livre eh bien, je suis complètement restée sur ma faim…

En faite, comme les deux premiers tomes, pendant ma lecture, je pouvais encore dire que ce livre fut tout aussi bon que les deux premiers, que l’effet est resté continuellement le même, et cela me plaisait bien, puisque l’univers de l’auteur m’avait complètement happé… Mais voilà, la fin arrivait à grand pas, et cette fin ressemblait à tout, sauf à une fin justement…

Je me demandais comment tout cela allait se terminer, est-ce seulement dans les toutes dernières pages que nous aurons toutes, et je dis bien TOUTES les réponses  à ces nombreuses questions que je n’ai cessais de me poser au fil de ces quelques 1663 pages (les 3 tomes). Mais non, rien de tout cela. Non seulement pour moi la fin n’en ait pas une, j’ai eu l’impression que l’auteur avait tout simplement posé sa plume et cessé d’écrire au milieu d’une phrase qu’il aura laissé en suspens, mais en plus, plus j’avançais et approchais de la fin du livre, et plus l’auteur faisait naître en moi d’autres questions…

Nombre de questions qui d’ailleurs reste sans réponses au final. Bref, une déception pour moi ce dernier livre, puisque j’attendais des tonnes d‘explications  que je n’ai pas trouvées, mais en plus j’attendais également une fin explosive qui ne sait pas non plus présentée… C’était évident que les deux protagonistes allaient se retrouver dans l’un des deux mondes (cela nous ait si souvent répété de manière si certaine que le doute n’est même pas permis. Je pensais que l’auteur allait nous présenter ça de manière aussi originale que l’ait l’œuvre complète en elle-même, mais non, RIEN… NADA…  

Je trouve cela dommage d’autant plus que je pars avec l’impression de passer à côté de quelque chose que je n’ai pas su saisir, qui me laisse ce goût amer. Je me suis tout de même demandais si cette fausse fin ne présenterait pas une suite probable… au moins pour toutes les interrogations qui se posent dans ce dernier opus et qui resteront donc un mystère complet pour moi.

En résumé, je sors un peu déçue de cette lecture (ce qui me rend triste vu à quel point j’avais aimé les deux premiers livres) parce la sensation qu’il manque des pages s’est trop fait sentir et je n’ai pas été satisfaite par la fin simpliste (tout le contraire de la trilogie toute de même) que l’auteur a proposé…

Quelques mots sur l'auteur :


Haruki Murakami
Nationalité : Japonaise  
Né(e) à : Kyoto 1949
Fils d'un enseignant de littérature japonaise en collège, Haruki Murakami passe son enfance avec ses livres (« j'étais un enfant unique, solitaire, inquiet. Je passais mes journées enfermé, avec mes chats et mes livres. [...] j'ai tout de suite senti que la fiction était plus belle que la vie. »4) et ses chats (« Je suis enfant unique et j'avais des conversations avec les chats que nous avions à la maison. »). Adulte, il opte pour les arts théâtraux et souhaite devenir scénariste de cinéma.
Après ses études à l'université Waseda, il est pendant huit ans (de 1974 à 1981) responsable d'un bar de jazz, le Peter Cat, dans le quartier de Kokubunji à Tokyo. (Des anecdotes de ces années seront évoquées plus tard dans ses deux recueils d'essais-souvenirs Portrait en jazz, 1997 et 2001.) Comme en témoigne l'animal éponyme de son bar, Murakami reste un passionné des chats, et l'on remarque la présence récurrente de cet animal dans sa littérature.
Ses expériences d'étudiant et de travail nourrissent son premier roman, le réaliste Écoute le chant du vent, publié au Japon en 1979, et pour lequel il reçoit le prix Gunzō. Depuis, Murakami préfère alterner son écriture entre l'« épreuve » des romans et la « joie » des nouvelles6, les secondes étant « une sorte de laboratoire » nourrissant les premiers.
 
Ma note : 
 
 13/20
 

lundi 27 juin 2016

1q84 livre 2 de Haruki Murakami

Couverture 1Q84, tome 2 : Juillet-Septembre
Présentation Du livre : 
 
Titre : 1Q84  Livre 1
Titre Original :1Q84  
Auteur : Haruki Murakami
Traducteur : Hélène Morita, Yôko Miyamoto
Saga : 1Q84
Tome : 2 
Date de sortie : 2012
Nombre de pages : 496
1er Éditeur : Belfond
Éditeur Poche : 10|18
Collection ://
Genre(s) : Contemporain
Prix : 9, 80 €
Spoiler : Non
  
Résumé : 
 
Les choses qui restent enfermées dans notre coeur n'existent pas en ce monde. Mais c'est dans notre coeur, ce monde à part, qu'elles se construisent pour y vivre. 

Le Livre 1 a révélé l'existence du monde 1Q84. 

Certaines questions ont trouvé leur réponse.  D'autres subsistent : qui sont les Little People ? Comment se fraient-ils un chemin vers le monde réel ? Pourquoi deux lunes dans le ciel ? Et la chrysalide de l'air, est-elle ce lieu ou sommeille notre double ? Ceux qui s'aiment ne sont jamais seuls. Le destin de Tengo et d'Aomamé est en marche.

Mon avis  :

Dans la même veine que le premier livre l’auteur nous laisse patauger dans l’incompréhension la plus totale. Parce que quand un semblant de réponse se pointe, l’auteur s’empresse d’ajouter des éléments qui nous déroutent complètement. Comme si finalement c’était ça le but de l’auteur : « nous rendre fou ».

Bien entendu dans ce tome on commence à avoir un peu plus d’éléments de réponse sur les deux mondes que traversent nos protagonistes. On commence à voir quelques liens certes ténus, mais quelques liens tout de même entre tout ce qui jusqu’à présent nous semblait être des évènements complètement indépendants les uns des autres…

On gravite toujours dans cette impression que le livre regorge de défauts, vous vous rappelez, je vous parlez de toutes ces longueurs interminabbbbbllllleees… des répétitions à volo, de tout ces récits qui ne semblaient avoir aucun lien avec l’intrigue de base, de ces changements de perceptions, de tous ces personnages qui apparaissent, certains disparaissent etc.

Et pourtant…

Encore une fois, ce second livre se lit quasi d’une traite… du moins les pages défiles les unes après les autres et on ne voit pas le temps passer… Et en plus… on en redemande encore et encore. En tout cas, moi j’ai très envie de découvrir la suite pour enfin comprendre ce qui Haruki Murakami manigance… Wouaw, si tous ses romans sont comme ça, mais moi j’adhère complètement.

Je pense qu’il n’y a que Haruki M. pour écrit un livre avec des manières qui de prime abord ne peuvent que nous exaspérer, nous autres lecteurs et en même temps réussir à nous captiver au point de lire une centaine de pages sans s’en rendre compte…

 En général, quand je lis un livre ou l’auteur se perd dans des explications plus qu’assommantes, je perds très vite le fil et fini par abandonner ma lecture, mais Haruki M. arrive par je ne sais quel moyen a me tenir en halène malgré tout… Et puis même si l’auteur prend un malin plaisir (de toute évidence) à nous induire en erreur, à nous plonger dans les doutes les plus incertains qui soient, on n’est pas totalement perdu pour autant… on garde quand même un fil rouge qui nous permet d’apprécier cette lecture à sa juste valeur…

Et puis, Haruki M. c’est un style à lui tout seul… Je ne suis pas sûre un jour de trouver son égal…  Mais ceci étant dit, je pense quand même que la plume de H.M  conjuguée à son imagination, c’est juste le jour ou la nuit. Le noir ou le blanc. En somme, on aime ou on n’aime pas… Moi Je suis carrément fan…  





Quelques mots sur l'auteur :


Afficher l'image d'origineHaruki Murakami
Nationalité : Japonaise  
Né(e) à : Kyoto 1949
Fils d'un enseignant de littérature japonaise en collège, Haruki Murakami passe son enfance avec ses livres (« j'étais un enfant unique, solitaire, inquiet. Je passais mes journées enfermé, avec mes chats et mes livres. [...] j'ai tout de suite senti que la fiction était plus belle que la vie. »4) et ses chats (« Je suis enfant unique et j'avais des conversations avec les chats que nous avions à la maison. »). Adulte, il opte pour les arts théâtraux et souhaite devenir scénariste de cinéma.
Après ses études à l'université Waseda, il est pendant huit ans (de 1974 à 1981) responsable d'un bar de jazz, le Peter Cat, dans le quartier de Kokubunji à Tokyo. (Des anecdotes de ces années seront évoquées plus tard dans ses deux recueils d'essais-souvenirs Portrait en jazz, 1997 et 2001.) Comme en témoigne l'animal éponyme de son bar, Murakami reste un passionné des chats, et l'on remarque la présence récurrente de cet animal dans sa littérature.
Ses expériences d'étudiant et de travail nourrissent son premier roman, le réaliste Écoute le chant du vent, publié au Japon en 1979, et pour lequel il reçoit le prix Gunzō. Depuis, Murakami préfère alterner son écriture entre l'« épreuve » des romans et la « joie » des nouvelles6, les secondes étant « une sorte de laboratoire » nourrissant les premiers.
 
Ma note : 
 19/20