
Présentation Du livre :
Titre : 1Q84 Livre 3
Titre Original :1Q84
Auteur : Haruki Murakami
Traducteur : Hélène Morita, Yôko Miyamoto
Saga : 1Q84
Tome : 3
Date de sortie : 2013
Nombre de pages : 619
1er Éditeur : Belfond
Éditeur Poche : 10|18 •
Collection ://
Genre(s) : Contemporain
Prix : 9, 80 €
Spoiler : Non
Résumé :
Ils ne le savaient pas alors, mais c'était là l'unique lieu parfait en
ce monde. Un lieu totalement isolé et le seul pourtant à n'être pas aux
couleurs de la solitude. Le livre 3 fait entendre une nouvelle voix,
celle d'Ushikawa. Et pose d'autres questions : quel est ce père qui
sans cesse revient frapper à notre porte ? La réalité est-elle jamais
véritable ? Et le temps, cette illusion, à jamais perdu ? Sous les deux
lunes de 1Q84, Aomamé et Tengo ne sont plus seuls...
Encore une fois c’est 100 ans après avoir lu un livre que je
m’en viens le commenter sur mon blog. Et ça, c’est pour ne pas déroger à la
règle… Je vous présente donc le dernier (???) livre de la série 1Q84 de Haruki Murakami,
le livre 3 donc.
On m’avait superbement bien vendue cette série… et après les
deux premiers livres, malgré des lectures difficiles, j’avais beaucoup aimé le
monde de l’auteur… Mais pour ce qui est de ce troisième livre eh bien, je suis
complètement restée sur ma faim…
En faite, comme les deux premiers tomes, pendant ma lecture,
je pouvais encore dire que ce livre fut tout aussi bon que les deux premiers,
que l’effet est resté continuellement le même, et cela me plaisait bien,
puisque l’univers de l’auteur m’avait complètement happé… Mais voilà, la fin
arrivait à grand pas, et cette fin ressemblait à tout, sauf à une fin justement…
Je me demandais comment tout cela allait se terminer, est-ce
seulement dans les toutes dernières pages que nous aurons toutes, et je dis
bien TOUTES les réponses à ces
nombreuses questions que je n’ai cessais de me poser au fil de ces quelques 1663
pages (les 3 tomes). Mais non, rien de tout cela. Non seulement pour moi la fin
n’en ait pas une, j’ai eu l’impression que l’auteur avait tout simplement posé
sa plume et cessé d’écrire au milieu d’une phrase qu’il aura laissé en suspens,
mais en plus, plus j’avançais et approchais de la fin du livre, et plus l’auteur
faisait naître en moi d’autres questions…
Nombre de questions qui d’ailleurs reste sans réponses au
final. Bref, une déception pour moi ce dernier livre, puisque j’attendais des
tonnes d‘explications que je n’ai pas
trouvées, mais en plus j’attendais également une fin explosive qui ne sait pas
non plus présentée… C’était évident que les deux protagonistes allaient se
retrouver dans l’un des deux mondes (cela nous ait si souvent répété de manière
si certaine que le doute n’est même pas permis. Je pensais que l’auteur allait
nous présenter ça de manière aussi originale que l’ait l’œuvre complète en
elle-même, mais non, RIEN… NADA…
Je trouve cela dommage d’autant plus que je pars avec l’impression
de passer à côté de quelque chose que je n’ai pas su saisir, qui me laisse ce
goût amer. Je me suis tout de même demandais si cette fausse fin ne présenterait
pas une suite probable… au moins pour toutes les interrogations qui se posent
dans ce dernier opus et qui resteront donc un mystère complet pour moi.
En résumé, je sors un peu déçue de cette lecture (ce qui me
rend triste vu à quel point j’avais aimé les deux premiers livres) parce la
sensation qu’il manque des pages s’est trop fait sentir et je n’ai pas été
satisfaite par la fin simpliste (tout le contraire de la trilogie toute de
même) que l’auteur a proposé…
Nationalité : Japonaise
Né(e) à : Kyoto 1949
Fils d'un enseignant de littérature japonaise en
collège, Haruki Murakami passe son enfance avec ses livres (« j'étais un enfant
unique, solitaire, inquiet. Je passais mes journées enfermé, avec mes chats et
mes livres. [...] j'ai tout de suite senti que la fiction était plus belle que
la vie. »4) et ses chats (« Je suis enfant unique et j'avais des conversations avec
les chats que nous avions à la maison. »). Adulte, il opte pour les arts
théâtraux et souhaite devenir scénariste de cinéma.
Après ses études à l'université Waseda, il est
pendant huit ans (de 1974 à 1981) responsable d'un bar de jazz, le Peter Cat, dans
le quartier de Kokubunji à Tokyo. (Des anecdotes de ces années seront évoquées
plus tard dans ses deux recueils d'essais-souvenirs Portrait en jazz, 1997 et
2001.) Comme en témoigne l'animal éponyme de son bar, Murakami reste un
passionné des chats, et l'on remarque la présence récurrente de cet animal dans
sa littérature.
Ses expériences d'étudiant et de travail
nourrissent son premier roman, le réaliste Écoute le chant du vent, publié au
Japon en 1979, et pour lequel il reçoit le prix Gunzō.
Depuis, Murakami préfère alterner son écriture entre l'« épreuve » des romans
et la « joie » des nouvelles6, les secondes étant « une sorte de laboratoire »
nourrissant les premiers.
Ma note :
13/20