Le cercle des
cœurs solitaires
Titre : Le cercle des cœurs solitaires
Auteur : Lotte et Søren
Hammer
Année de
sortie : 2013
Nombre de pages : 429
Éditeur : Actes Sud
(actes noirs)
Genre : Policier
Prix : 23 € 80
Particularité : J’ai reçu cet ouvrage dans le cadre
d’un partenariat avec Livraddict et les éditions Actes sud (dans la collection
actes noirs) que je remercie.
Résumé :
Fusillade dans
une école de Copenhague. Un collégien a tiré sur ses professeurs, tuant deux
d’entre eux, et séquestré les élèves de sa classe, avant d’être abattu par la
police. À peine relevé d’un accident cardiovasculaire, l’inspecteur Konrad
Simonsen imaginait une reprise un peu plus en douceur… Du côté de sa jeune
collègue, Pauline Berg, ce n’est pas la grande forme non plus : pas vraiment
remise de l’affaire précédente, où elle a failli laisser la vie, elle pique des
crises d’angoisse à répétition et carbure aux anxiolytiques.
Soucieuse de le ménager, sa hiérarchie met Simonsen sur une autre affaire, a priori banale : le décès d’un postier, quelques mois plus tôt, des suites d’une chute dans un escalier. Le dossier vient d’être rouvert : apparemment, on l’aurait aidé à tomber. Le téléphone portable de ce dernier révèle d’abord un lien avec l’un des professeurs tués. Un malheur ne venant jamais seul, Simonsen découvre bientôt un étrange mausolée dans le grenier du postier : des photos en noir et blanc d’une même jeune fille qu’un jeu de miroirs reproduit à l’infini. En fouillant dans les archives, Simonsen exhume bientôt la disparition jamais élucidée d’une adolescente à la fin des années 1960. Adieu les horaires aménagés.
Dans cette troisième enquête, Simonsen est rattrapé par le passé. Ébranlé par la maladie, il revient sur sa jeunesse et ses premières années dans la police, quand les gens de son âge et la femme qu’il aimait étaient de l’autre côté des barricades. Avec la froideur et la minutie des enquêteurs, Lotte et Søren Hammer explorent la fêlure d’un homme et les illusions perdues d’une génération dans un polar crépusculaire.
Soucieuse de le ménager, sa hiérarchie met Simonsen sur une autre affaire, a priori banale : le décès d’un postier, quelques mois plus tôt, des suites d’une chute dans un escalier. Le dossier vient d’être rouvert : apparemment, on l’aurait aidé à tomber. Le téléphone portable de ce dernier révèle d’abord un lien avec l’un des professeurs tués. Un malheur ne venant jamais seul, Simonsen découvre bientôt un étrange mausolée dans le grenier du postier : des photos en noir et blanc d’une même jeune fille qu’un jeu de miroirs reproduit à l’infini. En fouillant dans les archives, Simonsen exhume bientôt la disparition jamais élucidée d’une adolescente à la fin des années 1960. Adieu les horaires aménagés.
Dans cette troisième enquête, Simonsen est rattrapé par le passé. Ébranlé par la maladie, il revient sur sa jeunesse et ses premières années dans la police, quand les gens de son âge et la femme qu’il aimait étaient de l’autre côté des barricades. Avec la froideur et la minutie des enquêteurs, Lotte et Søren Hammer explorent la fêlure d’un homme et les illusions perdues d’une génération dans un polar crépusculaire.
Mon avis :
Un résumé intéressant, plus que ça
même. J’avais vraiment hâte de commencer cette lecture tant le quatrième de
couverture donner envie de s’y plonger.
Mais Malheureusement, j’ai très
rapidement rencontré un problème « de taille » de mon avis en tout
cas… Le rythme. En effet, le rythme de l’histoire est trop lent… Ce n’est
pourtant pas faute au fait que le roman contient moins de 430 pages et qu’il
soit écrit dans une police plutôt grande et agréable.
En faite, le contenant fait que,
c’est un livre qui pourrait se lire très vite finalement, mais on tombe très
rapidement dans une enquête de routine qui d’une part n’avance pas et d’autre
part créé une certaine forme d’ennuie… pourtant le début était plutôt bien
parti et je suis certaine que le roman en lui-même doit être excellent... Mais
je n’ai pas eu d’autre choix que d’abandonner cette lecture à sa moitié… Car la
panne de lecture me pendait au nez…
Pour ce qui est de l’histoire, on
suit ici un inspecteur, Konrad Simonsen qui suite à un accident
cardiovasculaire reprend le travail doucement. Sa chef lui confie même une
enquête Secondaire, voire même sans intérêt datant de plus de six mois, histoire
de le ménager. Seulement, après que son subalterne (devenu provisoirement son
remplaçant supérieur) enquête sur une fusillade dans un collège, L’inspecteur
Simonsen va découvrir un lien entre sa banale affaire et la fusillade, puis un
autre lien avec une disparue… dont l’enquête n’avait rien donnée dans les
années 60…
Tout ceci ne pouvant promettre que
ce que des bons romans apportent en général, j’étais très enthousiaste à l’idée
de découvrir le fin mot de l’histoire et de comprendre en même temps que
l’inspecteur, pourquoi cette fusillade a fait naître d’une part un lien avec
son enquête et comment celle-ci à pu le conduire si loin dans le passé… ?
Malheureusement, je n’ai pas eu le courage d’aller jusqu’au bout, J’ai trouvé
la cadence rythmique beaucoup trop molle et mon envie de persévérer diminuait
au fil des pages tournées.
Par ailleurs, même si l’histoire semble avoir un lien direct avec le passé de Konrad Simonsen, j’ai trouvé que les auteurs passaient beaucoup trop de temps à donner des précisions sur des détails qui n’étaient pas forcément importants par rapport à l’enquête, bien plus intéressante en soit que la vie de l’inspecteur.
J’ai également été embêtée par le
manque d’action par rapport au début du roman qui annonçait tout de même bien
la couleur de ce qui nous attendait…
Ce n’est pas un roman que je
condamne, bien au contraire, je pense juste que la patience est de mise dans
cette histoire… en tout cas, c’est un livre que je prendrai le temps de relire
dans de bonnes conditions…
Ma note : 12/20
♥♥♥
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