Titre : Jonathan Livingston le goéland
Auteur : Richard Bach
Date de sortie : 2001
Nombre de pages : 127
Editeur : J'ai lu
Genre : Jeunesse, Aventure
Prix : 3 €
Résumé :
"Mes frères ! s'écria Jonathan. Mille années durant, nous avons joué des ailes et du bec pour ramasser des têtes de poisson, mais désormais, nous avons une raison de vivre : apprendre, découvrir, être libre !"
Jonathan Livingston n'est pas un goéland comme les autres. ses parents, les autres membres de son clan, ne voient pas plus loin que le bout de leurs ailes. S'ils volent, c'est uniquement pour se nourrir. Jonathan, lui, vole pour son seul plaisir. Et en volant toujours plus haut, toujours plus vite, il sait qu'il découvrira un sens plus noble à la vie. Effrayés par son audace, ses semblables le rejettent. Mais Jonathan va se faire de nouveaux amis...
Mon avis :
Ce livre court, mais très plaisant
est à la fois une invitation au rêve, à l’amour et à la liberté. Un mélange
d'envie, de courage et de passion, mais aussi de force et d'estime de soi. Mais
pas seulement, puisqu'il nous fait nous poser certaines questions. Notamment,
comment devons-nous vivre notre vie ? Quel sens doit-on donner à cette vie ?
Jusqu'où doit-on aller pour atteindre nos buts… ?
Jonathan est différent des autres
goélands qui se contentent de vivre pour se nourrir. Lui décide d’apprendre à
voler plus haut, plus vite pour se prouver que les goélands sont capables de
bien plus que de pécher du poisson à longueur de journée. Mais s’est sans
compter le rejet des siens. Malgré tous, Jonathan décide de continuer jusqu’à
qu’il fasse la rencontre d’autres goélands comme lui et découvre le sens même
de l’amour, du partage et bien entendu, de la liberté.
A travers les yeux du goéland,
Richard Bach démontre dans son récit que la vie ne se limite pas seulement à
une mission bien précise que l’on doit répéter ad vitam aeternam mais bien de se
chercher constamment, donner le meilleurs de soi-même afin de vivre une vie
meilleure et vivre en toute liberté avec le moins de contrainte possible.
En écrivant cet avis, je me rends
compte d'une chose insensée, ce que nous vivons actuellement chez nous (en France) est tellement
loin de ce que prône ce récit concernant les Européennes. Nous sommes exactement
ce que dit Jonathan Livingston dans le livre (et qui est reprit dans le résumé en quatrième de
couverture) "Mes frères ! s'écria Jonathan. Mille années durant, nous avons joué des ailes et du bec pour ramasser des têtes de poisson..."
Il est serait donc temps de trouver une raison de vivre...
"A ce Jonathan le goéland qui sommeille en chacun de nous" Richard Bach.
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